Bon y'a pleins d'images au milieux normalment mais c'est trop long à tout héberger sur forumactif -_- ( c'est les petit truc marqué objet ...)
alors va falloir attendre que quelqu'un veuille bien le mettre en format téléchargeable
Les cormophytes; Origine des tissus différenciés
I)- Introduction
Les tissus différenciés proviennent de l’activité par mitose des méristèmes. Quand les méristèmes sont installés pendant l’embryogenèse (dans la graine), on parle de méristème primaire qui assure la croissance en longueur des organes. Les méristèmes I donnent naisssance à des tissus différenciés dit I (primaire).
Fécondation :
Gamète femelle + gamète mâle => zygote (2n) =>
Ovocyte spermatozoïde œuf 
Les deux zones méristématique chez l’embryon :
Le méristème I est dit embryonnaire. Il comporte deux méristèmes
- Le méristème apicale => appelé méristème apicale racinaire et qui va donner naisssance aux racines (radicule)
- Le méristème apicale => méristème apicale colinéaire qui va donner tout ce qui est aérien.
Ils vont donner naissance à une plante qui contient une racine I, à 2 cotylédons (= organe de réserve) et une tige qui va porter des feuilles. La zone entre le sol et les cotylédons s’appelle hypocotyle.

Si la plante est herbacée annuelle la structure I suffit. Les arbres et les arbustes ont besoin d’autres méristèmes (II) pour assurer la croissance en largueur (=> tissu spécialisé II).
Les méristèmes I assurent la croissance en longueur.
La mise en place des tissus II permet à la plante d’assurer sa croissance en épaisseur.
Les méristèmes I sont localisés dans les parties apicales (=> zone où il y a formation de nouveaux organes) les cellules sont différenciées.
Structure d’une racine et d’une racine.

II)- Les méristèmes primaires
Le méristème I permet la formation de l’épiderme, du parenchyme et des tissus conducteurs (=> xylème I et phloème I). Il y a 2 types de parenchymes (=> le parenchyme d’assimilation et celui de réserve).
Le parenchyme d’assimilation est le parenchyme qui fait la photosynthèse (riche en chloroplastes) dans les organes jeunes ou dans la tige.
Le parenchyme de réserve se trouve dans la racine ou dans les cellules de réserve (tubercule).
L’épiderme sert à la protection.
On peut avoir la formation d’autres tissus I
- tissu de soutien : collenchyme
Sclérenchyme
tissus sécréteurs : les odeurs
III)- Les tissus de protections
Les cellules de protection sont situées à l’extérieur de l’organe et jouent un rôle de protection contre les attaques externes biotiques (vivants) ou abiotiques (non vivants). Suivant la nature de l’organe et son âge ont trouve différents types de tissus de protection. Chez les tiges jeûnes (vertes) le tissu de protection est un épiderme formé par une seule assise cellulaire de façon continue. Elle est rendue imperméable par le dépôt de substance = la cutine généralement sans chloroplastes. La surface des feuilles, de fruits et des pièces florales est aussi protégée par un épiderme. Dans le cas des feuilles, les couches cellulaires sont interrompues par les stomates.
La tige chlorophyllienne et les pièces florales font la photosynthèse et contiennent des stomates.
Les stomates
Ils sont constitués d’une ouverture = ostiole. Ils sont formés de deux cellules qui délimitent l’ostiole et de forme reineforme = cellules stomatiques. Elles s’affrontent par leur bord concave. Sous chaque cellule stomatique, dans les tissus adjacents (= parenchyme) réserve une vaste lacune = la chambre sous stomatique.
Rôle : c’est l’échange de substances gazeuses avec l’atmosphère, c’est-à-dire qu’ils vont permettre l’entré du CO2 car en dessous on a un parenchyme d’assimilation et vont rejeter de l’O2, grâce à al photosynthèse.
Chez les plantes, les feuilles possèdent une face supérieure e une face inférieure. Il y a moins de stomates sur la face inférieure pour protéger la plante de la déshydratation.
Si la tige est verticale alors on aura une répartition homogène des stomates.
Les poils absorbants
Chez d’autres organes comme la racine l’épiderme possède des poils absorbants. Il existe chez la racine une zone pilifère après le méristème. Ils résultent de la différenciation de l’épiderme dans l’assise superficielle de l’organe qui été homogène au départ et qu’on appelle le protoderme et qui se distingue progressivement en 2 catégories de cellules :
- les unes près hydratées avec une grande vacuole = il s’agit d’une cellule à l’origine d’un poil absorbant prés élongation.
- les cellules non transformées (pas d’élongation) deviennent des cellules protectrices (épidermiques)
Ces poils absorbants peuvent dépasser 1 milliards par plante.
Rôle : c’est l’absorption de l’eau de des sels minéraux. C’est donc la sève brute.
IV)- Les tissus fondamentaux
Les parenchymes
Les cellules parenchymateuses ont conservés certaines caractéristiques des cellules méristématique : elles gardent une certaines souplesse de la paroi en remplissant des fonctions variées et un certain pouvoir à se diviser. Ceux des cellules vivantes peu différenciées isodiamétriques ou allongées. Leur paroi est mince et souple. Leur vacuole est très développée. Selon leur emplacement dans la plante, elles acquièrent une certaine spécialisation très marquées, car u même parenchyme peu jouer un rôle différent dans le temps et dans l’espace. Alors que les autres cellules sont totalement adaptées à une fonction donc moins souples.
Les cellules du parenchyme sont les seules, autre que le méristème, capable de redevenir à l’état initial pour donner un autre type de tissu et jouer un autre rôle.
Nota : - la tige a un parenchyme d’assimilation => photosynthèse
- la racine a un parenchyme de réserve => pas de photosynthèse
Ex : le collenchyme et le sclérenchyme proviennent de la dédifférenciés.
- dans le temps : changement de fonction
- dans l’espace : parenchyme médullaire dans le cylindre central xylème et phloème.
Organisation : les cellules du parenchyme ont une organisation différente selon les organes.
Les cellules sont jointives = parenchyme compact => parenchyme de réserve.
Chez la tige, la lamelle moyenne commence à se dégrader, les cellules deviennent circulaire et se détachent légèrement. Elles laissent un espace appelé méat. Par conséquent on a un parenchyme dit à méat et c’est un parenchyme d’assimilation car il y a un échange CO2 et O2 avec l’atmosphère. Dans ce cas, on aura chez les feuilles la création de lacunes. Plusieurs cellules se regroupent et vont laisser un grand espace pour créer un parenchyme lacuneux. Le parenchyme compact peut être palissadique c’est-à-dire qu’il y aura très peu de matière intercellulaire. Les feuilles qui ont une exposition horizontale au soleil a sa partie supérieure composée d’un parenchyme compacte (=> énergie du solaire) et sa partie inférieure d’un parenchyme lacuneux (=> énergie photosynthèse).
V)- Les tissus conducteurs
Les tissus conducteurs I sont spécialisés dans la circulation des sèves. Ils sont formés d’éléments fonctionnels qui assurent le transport des sèves et d’éléments accessoires qui assurent le soutient.
Le xylème
Ils ont un développement considérable dans la tige et la racine des végétaux ligneux où ils forment le bois. Le xylène est un vaisseau parfait spécialisé dans le transport de la sève brute. Il comprend des éléments conducteurs caractéristique de l’espèce associée à des cellules parenchymateuse e à des fibres. Chez les végétaux vasculaires (ptéridophytes, gymnospermes, et angiospermes), on a deux sortes d’éléments conducteurs qui existent :
- Les trachéides ou vaisseaux imparfaits = éléments primitifs et peu différenciés. Ceux sont des cellules mortes allongées le long de l’organe avec une extrémité effilée et ceux sont des cellules séparées par une paroi transversale. Ces cloisons sont plus ou moins lignifiées et la circulation de la sève brute se fait d’une trachéide à une autre chicane (zig- zag) par des plages laissées cellulosique. Suivant la forme, la disposition des épaississements de lignine et les plages restées cellulosiques on distingue 3 types de trachéides :
Trachéides aréolées : caractéristique des gymnospermes. Les parois lignifiées présentent des ponctuations dites des aréoles.
Trachéides scalariformes : les cellules présentent des sections polygonales régulières et la disposition de la lignine se fait à la manière des éléments d’une échelle. C’est la caractéristique des ptéridophytes.
Trachéides annelées ou spiralées : constituent des éléments ligneux de petit calibre qui se différencie, les premiers à apparaître dans les végétaux vasculaires. Les régions qui forment des épaississements en anneaux ou en spirales.
- Les trachées ou vaisseaux parfait : caractérisent les végétaux vasculaires les plus évolués tels que les angiospermes. Ceux sont des tubes continus = leur paroi transversale assez perforée ou résorbée (plus de paroi transversale), laissant un passage directe de la sève brute d’une cellule à l’autre. Ceux sont des cellules mortes sans noyau ni cytoplasme, la paroi II lignifiée double vers l’intérieure de la cellule. Selon l’évolution, on trouve des vaisseaux annelés (anneau de lignine), spiralés, rayés, réticulés, ou encore ponctués (le plus évolué, la lignine est partout avec des ponctuations). La paroi i est cellulosique.
On a donc différents types de xylème en fonction de la quantité et de la façon dont la lignine se dépose sur les parois longitudinales car les parois transversales n’existent pas.
Remarque : contrairement à une trachéide issue d’une seule cellule, un vaisseau est donc formé par l’assemblage de plusieurs cellules différenciées.
Les fibres
Ceux sont des cellules mortes, allongées, étroites et effilées aux extrémités. Elles ont une paroi épaisse et lignifiée. Elles ont un rôle uniquement de soutient des éléments conducteurs.
Le parenchyme
Ceux sont des cellules vivantes qui jouent un rôle de réserve car elles accumulent dans leur cytoplasme de l’amidon et rarement des lipides. Leur paroi est essentiellement cellulosique et rarement ligneux. Le parenchyme peut-être qualifié de vasculaire.
Conclusion
Le xylème transporte la sève brute = eau + sels minéraux qui provient du sol. Elle a été absorbée grâce aux poils absorbants et transportée de la racine vers le reste de la plante. Les cellules mortes transportent l’eau de façon passive grâce à deux mécanismes qui assureront ce transport passif :
- l’osmose = de l’eau la moins concentrée (peu de solutés, il y a peu d’eau dans la racine) vers al plus concentrée (les feuilles ont beaucoup de solutés).
- la transpiration des feuilles.
Le phloème ou tube criblé
Ceux sont des cellules vivantes, allongées mais sans noyau, la paroi est épaisse et pectocellulosique. Les parois transversales comportent des perforations ou des pores souvent regroupés dans des plages ayant l’apparence de cribles. C’est de là que s’effectue le passage de la sève élaborée formée par photosynthèse (sucre = saccharose). Le transport de la sève se fait de façon active de la feuille ou la tige chlorophyllienne vers la racine. Les tubes criblés sont des éléments conducteurs à côté on a des éléments accessoires.
Les éléments accessoires
C’est une seule cellule prénommée compagne. Cette cellule est de petite taille, vivante, avec un noyau et une paroi pectocellulosique. Elle provient d’une division inégale d’une cellule méristématique pour donner soit une cellule criblée (grande cellule sans noyau) ou soit une cellule compagne (petite cellule avec noyau). La cellule compagne est capable de se diviser pour donner une nouvelle cellule criblée. Elle sert donc régénérer le tube criblé en cas de dégénérescence de celui-ci. On a aussi un parenchyme vasculaire.